Grâce à votre appui, cette politique a permis par le passé et encore aujourd’hui de faire avancer la cause des femmes en matière d’égalité et dans les communautés où nous sommes actifs-ves, notamment au Rwanda, Burundi et en République Démocratique du Congo avec le projet PLUVIF et au Guatemala avec le projet DEMUJERES.Toutefois, face à la montée des mouvements conservateurs, nous devons consolider nos acquis et relever de nouveaux défis pour atteindre un meilleur équilibre entre les femmes et les hommes dans le monde.
Afin de poursuivre sur la même lancée, nous faisons appel à votre générosité. Votre don est plus qu’une contribution financière, il est un facteur de changement. Merci de donner généreusement !
« Il a été possible de voir un réel changement auprès de plusieurs hommes de ma communauté. Peu à peu, les gens ont compris que ces hommes avaient vraiment changé pour mener une meilleure vie avec leur femme et leurs enfants. Maintenant, beaucoup de gens vont chez ces hommes, comme s’ils allaient chez le docteur, pour leur demander conseil. » — témoignage d’une participante aux activités de sensibilisation, Burundi
Rwanda, Burundi, République Démocratique du Congo - 2010 à 2017
« À l’adolescence, j’ai pris conscience de mes origines et de mon héritage comme femme autochtone. Dans la foulée de mon implication dans les organisations autochtones, on m’a expliqué l’origine du racisme, la situation politique du pays et comment tout cela se construit au niveau des mentalités, alors j’ai commencé à comprendre. Je devais m’affirmer dans mon identité et mes origines pour être respectée et faire avancer le processus d’éradication du racisme et cela nécessite un effort collectif. À ce moment-là, je me suis réconciliée avec tout ce que je suis, mes origines culturelles et mon histoire. Et cela m’a beaucoup aidé à m’affirmer en tant que femme autochtone ayant une volonté politique de transformation et de changement. » — Sariah Acevedo, coordonnatrice du projet DEMUJERES
« Avant ce projet, nous cultivions de l’arachide et du sésame. Il a changé nos vies car nous ne connaissions pas l’entretien des arbres à karité, ni des pépinières. Le projet nous a permis de participer à des formations et de recevoir du matériel agricole. À présent, les arbres à karité ont une plus longue durée de vie. La quantité de fruits récoltés a augmenté et leur qualité s’est améliorée. Nous vendons donc plus d'amandes de karité qu’avant. De plus, nous n’achetons plus de bois pour leur cuisson puisque les résidus issus du karité sont transformés en biochar et en compost. Nous arrivons maintenant à subvenir aux besoins de nos familles, à scolariser nos enfants et à épargner.» — Femmes productrices de karité, Burkina Faso
